Un aller simple door Didier van Cauwelaert

Beoordeling 7
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Boekcover Un aller simple
Shadow
  • Boekverslag door een scholier
  • 6e klas vwo | 3142 woorden
  • 17 april 2002
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Cijfer 7
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Boekcover Un aller simple
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Un aller simple door Didier van Cauwelaert
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1 Résume du contenu du livre Il s’agit d’Aziz, il a vingt ans. Il est d’origine français, mais adopté par une famille tsigane. D’abord il pense qu’on a volé la voiture dans laquelle ses parents l’ont laissé dormir. C’était une ami six, d’où il a son nom, Aziz. Mais quand il a dix-huit ans Mamita (sa mère-adoptive) lui raconte que ses parents sont tué dans un accident et qu’il a sauvé avant que la voiture est explosée. Dès son enfance il sait qu’il n’est pas vraiment un tsigane, ni d’origine Roumaine, ni d’origine Arabe. C’est pourquoi il est arbitre quand les deux groupes jouent au football. À l’age de douze ans il a quitté l’école, comme tous les Roumains. Il gagne sa vie comme voleur des voitures, les autoradios sont son spécialité. Il avait reçu un Atlas avec des histoires de son professeur géographie. Il aime bien ce livre et il sait tous les histoires. Il a une copine, Lila. Un autre tsigane veut se marier avec elle, mais Aziz a un plus grande dot. Quelques autoradios volés. Pour le dîner de fiançailles Aziz a acheté un présent pour Lila. Pendant le dîner la police fait une invasion. Aziz est accusé par le bijoutier qu’il a volé le cadeau. C’est le seul truc qu’il n’a pas volé! Il doit aller à la prison. Un copain, qui est policier, Pignol lui raconte qu’il faut retourner à son ‘propre’ pays, Maroc. Evidemment Aziz n’est pas de Maroc, mais ses papiers faux le disent. Aziz est le victime d’une campagne pseudo-humanitaire mais dubieuse du gouvernement pour rapatrier des étrangers illégaux, mais avec aide financière et personnelle pour bâtir là une nouvelle existence. La publicité souhaitée par le gouvernement ne réussi pas. Il va au Maroc avec un attaché humanitaire, qui s’appelle Jean-Pierre Schneider. Il est dépressif, parce qu’il a des problèmes avec sa femme Clémentine. La relation entre Jean-Pierre et ses parents n’est pas bonne aussi. Ils habitent à Lorraine et il ne les a pas vu depuis longtemps. Aziz doit aller à Irghiz, son village, mais ce n’existe pas, seulement dans ses papiers. Aziz raconte une histoire de son atlas à Jean-pierre. Il croit qu’Aziz dit la vérité. Ils ont besoin d’un guide et Aziz trouve une jeune femme Française, Valérie. Aziz trouve Valérie mignonne et Jean-Pierre tombe amoureux d’elle. Aziz lui raconte l’histoire de son origine fictive et Valérie est d’accord de prendre sa rôle dans le jeu. Jean-Pierre croit tout qu’Aziz lui dit ou mieux il veut le croire parce que c’est une monde plus beau que le sien. Jean-Pierre reprend la rêve de sa jeunesse- de devenir un écrivain- et il note tous les événements du voyage dans une carnet de mission. Il veut publier cet histoire avec le titre :’un aller simple’, il sait donc d’avance qu’il ne retournera pas. Jean-Pierre tombe malade, parce qu’il a bu de l’eau infecté. Il veut continuer malgré tout son voyage, qui lui donne enfin sa mort. Ça semble plutôt suicide. Aziz décide d’accompagner Jean-Pierre à France et ce n’est pas difficile avec son corps de rentrer dans ce pays. D’abord il va à la maison de Clémentine à Paris, mais s’il a vu l’amant nouveaux de Clémentine il sait que c’est une erreur de laisser le corps de Jean-Pierre chez Clémentine. Il décide d’aller aux parents de Jean-Pierre. Avec le dernier argent de Jean-Pierre il achète un Citroën. Il prend le corps avec lui. Arrivé chez les parents il raconte une histoire héroïque de Jean-Pierre, comment il a sauvé sa vie et comment il a aimé ses parents. Il veut raconter plus tard la vraie histoire des derniers jours de Jean-Pierre. Mais s’il revient chez sa voiture, elle est volé avec le corps de Jean-Pierre dedans ! Pour Aziz c’est un signe du destin, c’est pas nécessaire de raconter la vraie histoire. Aziz reste chez les parents de Jean-Pierre pour finir l’histoire de sa carnet de mission. De nouveau il est un fils-adoptif. Ce n’est pas clair s’il restera (illégal) en France ou reviendra au Maroc. 2 Titre Le titre, un aller simple, signifie en néerlandais: ‘een enkele reis’. Cette titre a significations différentes. Cette titre se rapporte à Jean-Pierre et à Aziz, parce qu’il fait un aller simple au Maroc, mais il ne revient pas vivant en France. Le titre se rapporte aussi à le titre, que Jean-Pierre voudrais donner à son livre. Jean-Pierre veut commencer à nouveau avec sa vie et c’est la raison pourquoi il fait un aller simple. Le titre se rapporte à la mauvaise volonté de Jean-Pierre, qu’il a pour retourner à sa vie qu’il conduit. Il demande Aziz de écrire son livre et Aziz doit écrire quelque bonnes choses de Jean-Pierre. Le voyage au Maroc est la fin de la relation d’Aziz et Lila. Le titre Un aller simple apparaît dans le journal de Jean-Pierre (p.157) dans une réflexion sur la façon de désigner le roman qu'il s'apprête à écrire. Le titre suggère le fait que Jean-Pierre ne veut plus retourner en arrière, dans la vie qu'il menait jusqu'à maintenant. Ironiquement, le même titre servira à évoquer le fait que Jean-Pierre soit parti pour le Maroc et qu'il n'en soit jamais revenu vivant. Je trouve que le titre est bien choisi par Cauwelaert, parce qu’il se rapporte à le personnages principal, mais de l'autre latéral, le titre se rapporte plus d’à Jean-Pierre, tandis qu’Aziz est le personnage principal. Et un autre latéral est-ce qu’Aziz retourne en France, Quand Jean-Pierre est mort, cette fait n’est pas juste avec le titre ‘un aller simple’.
3 Forme Didier van Cauwelaert a construit son histoire chronologiquement, la forme et le texte vont bien ensemble. Vous suivez la vie et les événements à la vie d’Aziz, de ses passées et de son opinion, et parce que ça, ce n’est pas mal qu’il pense de retour à Lila. à la commence vous voyez justement les passées, parlé par un personne: Aziz. C’est parce que le livre est écrié à la ‘Je-Forme’(page.5 : “J’ai commencé dans la vie comme enfant trouvé par erreur.” ). Je trouve que Didier van Cauwelaert est réussi à son livre, parce que tout l’histoire tourne de Aziz. Le genre est un roman. Dans un moment donné il y a aussi parties au livre de Jean-Pierre à l’histoire, ce n’est pas facile, mais ce n’est pas difficile aussi. La construction de l’histoire n’est pas compliqué. Il n’y a pas beaucoup de flashbacks dans l’histoire, justement quand Aziz pense de retour à Lila. L’écrivain, Didier van Cauwelaert, écrite avec beaucoup de mots. L’histoire se déroule en France(Marseille) et au Maroc. Il a fait Aziz Kemal au narrateur. L’usage de langue n’est pas difficile, il y avait quelquefois de phrases compliqué, mais ça fait l’histoire très clairement. Je trouve que l’usage de langue et les personnages vont bien ensemble. 5 Courant littéraire C’est très difficile de classer ce roman dans un courant littéraire ou dans un développement littéraire, parce que c’est un nouveau livre: Didier van Cauwelaert a écrié ce livre en 1994. Ce livre est écrié en le 20e siècle, le siècle que nous appelons ‘siècle de la condition humaine’. La condition humaine veut dire qu’il y a des questions sur notre vie : Qu’est-ce que c’est l’intention de notre position ? Qu’est-ce que je suis ? Qu’est-ce que c’est le sens de notre vie ? Ces questions ont aussi dans ‘un aller simple’ : Pourquoi retourner en France ? Il y a une sens de notre vie ? Parce que nous mouront (Quand Jean-Pierre mourre). Une autre caractéristique de cette période est qu’il n’y a pas une réponse de ces questions et dans ‘un aller simple’ il n’y a pas aussi de réponses de ces questions. Dans le 20e siècle, il y a deux grande problèmes : La première problème est-ce qu’il y a une abondance des œuvres littéraires à tout genres. La deuxième problème est-ce qu’il est très difficile de faire une sélection dans ces œuvres ou de faire une ordre à ces œuvres. Dans cette époque ils ont découvré que la classer de littérature pure à base de courants littéraires n’est pas possible. La classification le plus prévenante est la classification à base d’un événement triste : les guerres mondiales. C’est très logique que les écrivains se ne soucierons pas de cette classification. Il y a quatre périodes dans cette époque : 1 D’abord le première guerre mondiale
2 Entre les deux guerres mondiales
3 Après la deuxième guerre mondiale
4 La littérature moderne
Je pense que ‘un aller simple’ est écrié dans le dernière période : La littérature moderne. Parce que la littérature d’aujourd’hui est très universel et volumineux, c’est à peine possible de choisir un choix responsable. Chaque livre donne une nouvelle approximativement des problèmes humaines, nous lisons de joie et de chagrin, nous sommes confronté avec questions qui nous faites à penser
A la future la littérature va continuer de chercher la sens de la vie, parce que chaque homme ça doit expirer à son propre manière. La littérature peut nous aider de chercher notre-mêmes. De chercher cette vérité humaine, de quoi Emilie Carles dit : ‘J’y ai cru, j’y crois encore et toujours, jusqu’à mon dernier souffle de vie’.
7 Illustrations * J’ai choisi le logo de Citroën, parce qu’ils ont trouvez Aziz dans un Citroën, dans un ami six, d’où il a son nom, Aziz. * J’ai choisi un picture d’un tsigane, parce qu’Aziz est adopté par une famille tsigane. * J’ai choisi cette picure, parce que Aziz gagne sa vie comme voleur des voitures, les autoradios sont son spécialité. 11 Poème Aziz
Pauvre orphelin Aziz
Sentir comme un étranger
Trouvé dans une ami six
Parce que ton parents ont tué Voleur de voitures nouveau
Autoradios si spécialité Tu reçois un atlas si cadeau
Et donne une autoradio volé Tu aimes Lila, un fille
Tu veux lui marier
Mais c’est très difficile
Elle est d’une autre variété Tu as volé beaucoup à ta vie
Et ne jamais condamné Maintenant arrêté par un ami
Pour un chose tu n’a pas volé C’est la suite, c’est le résultat
De tes actions, Aziz

Maintenant envoyé d’un autre état
Le fin de ta belle vie
Pauvre orphelin Aziz 14 Opinion personnelle Je trouve que le livre, un aller simple est intéressant, c’est quelque fois humoristique et c’est quelquefois émouvante. Il n’y a pas des personnages indistincte, qui fait le livre difficile. La construction n’est pas difficile aussi et je trouve que les événements sont en général très logique. J’ai lu ce livre avec plaisir. Je trouve que l’histoire est captivant, parce que la situation est un peu représentante, parce que le caractère principal dit l’histoire. C’est la raison pourquoi vous allez penser de la situation et ça donne le livre une autre tournure. Pendant que vous voudriez dormir, donc vous lire l’histoire parce que c’est représentante. Je pense que cette histoire est très entraîné, parce que le narrateur, Aziz Kemal, raconte l’histoire très intéressant. Par exemple quand Aziz voudriez voyager avec le corps de Jean-Pierre, je trouve que c’est très unique et originelle, parce que ça veut dire qu’Aziz aimait Jean-Pierre et ça devient claire à cette moment. Mais je le ne comprend pas, parce que je ne veut pas jamais voir un corps d’un homme que j’aime ou d’un homme que je n’aime pas. Je pense que ça veut dire que Jean-Pierre était le personnage seul, avec qui Aziz ne pense pas qu’il avait seul. Et à ce moment quand Jean-Pierre est morte, il sais qu’il est seul, qu’il n’a pas personne. Je trouve que ce livre est un peu triste aussi, parce qu’Aziz est accusé par le bijoutier qu’il a volé le cadeau. C’est le seul truc qu’il n’a pas volé! Il doit aller à la prison. C’est ignoble qu’il doit aller au prison pour quelque chose il n’a pas fait. L’histoire est aussi humoristique, parce qu’il y a des hommes qui ont tenu pour mal et parce qu’il y a quelquefois place pour un plaisanterie. Par exemple : Jean-Pierre croyait l’histoire d’Aziz qu’il lui raconte qu’il faut retourner à son ‘propre’ pays, Maroc. Evidemment Aziz n’est pas de Maroc, mais ses papiers faux le disent. Aziz lui a raconté sur Irghiz, une place qui n’existe pas ! Je pense que l’histoire n’est pas très réaliste, parce qu’il y a des événements que vous ne croyez pas, chaque choses que vous ne faites pas : Aziz va au Maroc avec un attaché humanitaire, qui s’appelle Jean-Pierre Schneider. Il est dépressif, parce qu’il a des problèmes avec sa femme Clémentine. La relation entre Jean-Pierre et ses parents n’est pas bonne aussi. Ils habitent à Lorraine et il ne les a pas vu depuis longtemps. Je pense que ça n’est pas légal d’envoyer un attaché humanitaire, qui est dépressif, avec un criminel à un pays loin. C’était un peu imaginaire, mais autre choses peuvent être réalistement. Ce livre est aussi intéressant, parce qu’il s’agit de cultures différentes et relations de famille. Tous est un misère dans ce livre et à la fin il n’y a pas un misère, grâce à Aziz, qui raconte bonne choses à les parents de Jean-Pierre. C’est très beau , mais aussi tragique de lire comment on voit un français si Moracée, et comment il doit voyager ‘de retour’ à son ‘propre’ pays. Je trouve que le sujet, l’amour pour autres, est très amusante. J’aime de livres qui raconte d’amour. L’histoire est un peu romantique, parce qu’Aziz est accusé par le bijoutier qu’il a volé le cadeau. C’est le seul truc qu’il n’a pas volé! Il doit aller à la prison (page21 ‘Je me suis assis, et je resté la bouche ouverte en entendant Place-Vendôme déclarer que je l’avais cambriolé’). Je trouve que les événements sont parfois très accidentel, par exemple quand ils rencontrent Valerie, pendant elle avait une dispute(page65 ‘Et j’ai précisé que j’avis besoin d’un guide avec mon ami…’) Un autre exemple est que Jean-Pierre et Valerie ont une relation parce que Aziz veut ça(page76 ‘Faut qu’il tombe amoureux de toi, j’ai dit.’). Les événements sont très triste, Aziz est enlevé chez sa fiancé, il doit abandonner son Pays et il doit aller au un pays étrange et Jean-Pierre, son ami, meure. 16 Interview 1 > Comment est né ce livre’un aller simple ? 1 < J'avais treize ou quatorze ans quand j'ai entendu parler pour la première fois d'un scientifique spécialisé dans les enquêtes sur les miracles. Et il m'a fallu plus de vingt-cinq ans pour que, de ce souvenir, naisse un livre. Lorsque Rémy Chauvin et le père Brune ont évoqué devant moi cette histoire de la tilma de Juan Diego, la chemise d'un pauvre indien du Mexique sur laquelle s'était imprimée l'image de la Vierge, en 1531, j'avais trouvé le sujet idéal pour mon roman. 2 > Vous êtes plus sévère avec la hiérarchie catholique ? 2 < J'ai effectivement un principe de méfiance envers les religions qui s'accaparent le pouvoir. Je ne comprend pas comment les principes d'amour et d'intelligence qui fondent la religion chrétienne peuvent s'accommoder de sectarisme, de matérialisme, d'accumulation des richesses. Savez-vous qu'on a un jour découvert que la banque du Vatican était actionnaire d'une marque de préservatifs ? 3 > Dans votre livre ’un aller simple’ vous racontez sur un français, qui ont voit si Marocain, avec un autre religion, pourquoi ? 3 < Vingt à trente millions de personnes viennent chaque année visiter la basilique. On y vend la Vierge sous les formes les plus inimaginables : pain d'épice ou saucisson...C’est la raison parce que je trouve que c’est très intéressant. 4 > Le personnage principal est seule et il se sent comme il appartient nulle part. Il se sent étranger dans son ‘propre’ pays. Vous-avez senti comme ça ? 4 < Hasard ou providence, je me trouve que quelques mois plus tard, le Figaro Magazine m'a proposé de suivre un congrès à Mexico. C'était l'occasion idéale de visiter la basilique de la Guadalupe, au nord de Mexico, grande comme un stade. L'état de conservation de celle-ci n'est pas plus explicable que la nature de l'image qui y est imprimée. Je n’ai pas été beaucoup en pays étrange, mais j’ai été au Mexico, et je me sentais chez un étranger, parce que je ne sais pas le langue et j’ai autre traditions que les mexicains. Et quand je me sentait chez un étranger, je me sentait aussi seule, parce que j’ai très différente que les autres. Je les ne comprend pas et ils ne comprennent pas moi. 5 > Ce roman a valu à son auteur le prix Goncourt en 1994. Qu’est-ce que vous sentiez au ce moment ? 5 < Je n’expecte pas que j’auxiliaire recevoir un prix pour écrire ma imagination ! J’était très heureuse, c’est une vraie compliment. Ça me stimule d’écrire autre livres, parce qu’il y a de gens qu’ils aiment mes livres. Ça me plait que j’ai reçu ce prix, parce que ça veut dire que l’audience aiment mes idées et mes significations. J’espère que je n’ai pas reçu ce prix parce que l’audience aiment l’histoire, mais j’espère j’ai fait mes idées et mes significations clairement.

REACTIES

A.

A.

Hey, er staan in heel deze samenvatting geen accenten (of op de foute plaats),ook flagrante fouten tegen de zinsbouw en opwisselen van mannelijk/vrouwelijk.

Ik heb even office 2007 spelling + grammatica check erop losgelaten. Ik raad jullie aan om dit ook eens te doen.

17 jaar geleden

P.

P.

Nummeringcheck mss ook ez proberen. Na 3 komt in de meeste gevallen 4. :p

13 jaar geleden

L.

L.

Bonjour, je parle français (je viens de Suisse, pas de France, attention ahah) et absolument pas néerlandais (je crois que ce site est en néerlandais?) mais je voulais remercier la personne qui a écrit cet article très intéressant malgré quelques fautes hilarantes. Bravo pour la bonne compréhension du livre ainsi que le bon niveau de français, sachant que j'arrive même pas à comprendre dans quelle case je dois mettre quoi pour que mon commentaire soit publié...

6 jaar geleden

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