Ik heb het boek ‘La Peste’ van Albert Camus gelezen. Het boek is uitgegeven door Librairie Gallimard en voor het eerst gepubliceerd in 1947.
Samenvatting
Première partie, chapitre 1 à 3
Le personnage principal, Bernard Rieux, vive dans le village Oran, en Argentine. Il est un médecin. L’histoire est situé entre 1940 et 1950. Un jour, il trouve un rat mort dans son appartement. Dans les semaines qui suivent, tout le monde trouve les rats morts, gisant dans la rue. Tout à coup, le concierge de Rieux’ bâtiment meurt de la grippe. Rieux découvre que la grippe a prévalu dans tout le village. L’autorité ne croit pas Rieux, quand il dit que il y a un fléau. Si la situation dégénère, l’autorité se rend compte lentement qu’ils doivent prendre des mesures. Ils inventent des choses pour réduire l'épidémie.
Deuxième partie, chapitre 4 à 8
Lentement, le village s’isole du monde extérieur. Il est difficile de communiquer avec les gens de l'extérieur du village. Un ami de Rieux fuit du village, pour réunir avec sa petite amie. Tarrou, le fils du juge d’un autre village, a confiance aux gens et aide Rieux à organiser les soins de santé. La situation devient plus mauvais. Les gens essaient de s'échapper du village, et il y a un couvre-feu. Les gens morts n’ obtiennent plus des funérailles et tous les habitants commencent à dépérir. Il y a des soulèvements.
Troisième partie, chapitre 9 à 11
Cette partie se déroule de septembre à décembre. La femme de Rieux est malade, et elle se détériore vite. En octobre, le médicament crée par un ami de Rieux, Castel, est arrivé dans le village. Le sérique est essayé sur les gents malades mais le fils du prêtre ne pouvait pas être sauvé.
Quatrième partie, chapitre 12 et 13
En janvier, la peste est terminée. Pourtant, Tarrou et la femme de Rieux meurent aussi. Les portes du village sont ouvrit à la joie du peuple. Les gents sont heureux, mais ils n’oublieront jamais cette terrible époque.
Het boek in vier delen
Première partie, chapitre 1 à 3
Aan het einde van deel één besluit het bestuur om toch de poorten dicht te gooien.
Bladzijde 42 «Pendant ce temps, et de toutes les banlieues environnantes, le printemps arrivait sur les marchés. Des milliers de roses se fanaient dans le corbeilles des marchands, au long des trottoirs, et leur odeur sucrées flottait dans toute la ville. Apparemment, rien n'était changé. Les tramways étaient toujours plains aux heures de pointe vides et sales dans la journée. Le soir, la même foule emplissait le rues et les queues s'allongeaient devant les cinémas. D'ailleurs, l'épidémie sembla reculer et, pendant quelques jour, on compta une dizaine de morts seulement. Puis, tout d'un coup, elle remonta en flèche. Le jour où le chiffre des morts atteignit de nouveau la trentaine, Bernard Rieux regardait la dépêche officielle que le préfet lui avait tendue en disant: "ils ont eu peur" La dépêche portait: "Déclarez l'état de peste. Fermez la ville." »
Ik schrok een beetje van het feit dat het zo rustig leek en de pest er zo snel insloop en op deze manier toch onrust wist te zaaien. Het eerste stukje had het zo mooi over bloemen en lente, terwijl de dag erna in één keer dertig doden vielen. Rieux en zijn vriend Castel waren al de hele tijd bezig met het bestuur proberen te overtuigen dat er toch echt een probleem was, maar het bestuur gaf daar geen gehoor aan. Pas als het probleem zo groot wordt dat er te weinig medicijnen zijn en het dodental naar dertig per dag gaat ondernemen ze actie door de stad te sluiten. Ik vind het zo frustrerend dat het bestuur dan niet luistert, terwijl er zo veel aspecten die kant opwijzen. Rieux is per slot van rekening een dokter en hij weet waar hij over praat. Op het moment dat er écht veel mensen dood gaan, denkt het bestuur pas na. Terwijl het dan natuurlijk al te laat is voor veel mensen.
Deuxième partie, chapitre 4 à 8 (31 tm 102)
In het begin van deel twee, in hoofdstuk vijf, heeft de priester Paneloux een verhaal voor Rieux. Hij vertelt over hoe hij vindt dat de pest een straf is van god voor de ongelovige mensen.
Bladzijde 58 « C'est la suite du discours qui fit seulement comprendre à nos concitoyens que, par un procédé oratoire habile, le Pére avait donné en une seule fois, comme on assène un coup, le thème de son prêche entier. Paneloux, tout de suite après cette phrase, en effet, cita, le texte de l'exode relatif à la peste en Egypte et dit: "La première fois que ce fléau apparaît dans l'histoire, c'est pour frapper les ennemis de Dieu. Pharaon s'oppose aux desseins éternels et la peste le fait alors tomber à genoux. Depuis le début de toute histoire le fléau de Dieu met à ses pieds les orgueilleux et les aveugles. Méditez cela et tombez à genoux." »
Één bladzijde verder geeft Paneloux een preek over de pest tegen het volk.
Bladzijde 58 en 59 « Si, aujourd'hui, la peste vous regarde c'est que le moment de réfléchir est venu. Les justes ne peuvent craindre cela, mais les méchants ont raison de trembler. Dans l'immense grange de l'univers, le fléau implacable battra le blé humain jusqu'à ce que la paille soit séparée du grain. Il y aura plus de paille que de grain, plus d'appelés que d'élus, et ce malheur n'a pas été voulu par Dieu. Trop longtemps, ce monde a composé avec le mal, trop longtemps, il s'est reposé sur la miséricorde divine. Il suffisait du repentir, tout était permis. Et pour le repentir, chacun se sentait fort. Le moment venu, on l'éprouverait assurément. D'ici là, le plus facile était de se laisser aller, la miséricorde divine ferait le reste. Eh bien! cela ne pouvait durer. Dieu qui, pendant si longtemps a penché sur les hommes de cette ville son visage de pitié, lassé d'attendre, déçu dans son éternel espoir, vient de détourner son regard. Privé de la lumière de Dieu, nous voici pour longtemps dans les ténèbres de la peste.»
Het boekverslag gaat verder na deze boodschap.
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