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18e eeuwse literatuur

Beoordeling 3.9
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  • Scriptie door een scholier
  • Klas onbekend | 1929 woorden
  • 21 juni 2001
  • 68 keer beoordeeld
Cijfer 3.9
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Le siècle des lumières. “Le siècle des lumières” est un terme qui désigne le XVIIIe siècle en tant que période de l’histoire de la culture européenne, marquée par le rationalisme philosophique et l’exaltation des sciences. La critique de l’ordre social et de la hiérarchie religieuse sont des éléments principaux de l’idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L’expression était déjà fréquemment employée par les écrivains de l’époque, convaincus qu’ils venaient d’émerger de siècles d’obscurité et d’ignorance et d’entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l’humanité. Qui étaient les précurseurs? Les philosophes rationalistes du XVIIIe siècle, tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke, et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières. Pourtant certains éléments des doctrines de ces penseurs eussent été rejetés parce que les doctrines allaient à l’encontre des conceptions empiristes et antiautoritaires. Les découvertes scientifiques et le relativisme culturelle lié à l’étude des civilisations non européennes contribuèrent également à la naissance de l’esprit des Lumières.
Les idées défendues par les philosophes des Lumières. Les philosophes défendaient 5 grandes idées: la liberté, la raison, la tolérance, l’égalité et le progrès. Deux de ces idées, ont été retenues dans le slogan de la Révolution française: “liberté, égalité et fraternité”. La liberté: « Les hommes naissent tous libres. C’est le plus précieux de tous les biens que l’homme puisse posséder. Il ne peut ni se vendre ni se perdre. » Ils étaient aussi pour la liberté d’expression, car il y avait la censure qui l’interdisait. La raison: C’ est le moyen d’acquérir des connaissances. Quesnay disait : « La raison est à l’âme ce que les yeux sont au corps: sans les yeux, l’homme ne peut jouir de la lumière. Et sans la lumière, il ne peut rien voir. » La tolérance: D’après Voltaire, on doit respecter la liberté et les opinions sociales, politiques et religieuses d’autrui. L’égalité: D’après Rousseau: « être libre, n’avoir que des égaux est la vraie vie, la vie naturelle de l’homme. Les hommes naissent égaux. » En ce temps la, en France, on naissait à inégalité car il y avait une société d’ordre. Le progrès: Ils sont pour le progrès de la société et pour l’innovation, le commerce,… Ils défendaient aussi 2 autres idées. Les philosophes critiquaient les abus de pouvoir, c’est pourquoi il voulaient la séparation des pouvoirs. Montesquieu disait: « il est utile de séparer les 3 pouvoirs, afin qu’ils ne soient pas concentrés dans les mains d’une seule personne, afin d’éviter toute tyrannie. » Ils étaient aussi pour le rejet de la monarchie de droit divin mais ils restaient généralement favorables à un régime monarchique. Mais ils ne sont pas pour une démocratie, sauf dans le cas de Rousseau. Voltaire. François Marie Arouet (Voltaire était un pseudonyme) était un des grandes figures du siècle des Lumières. Il naquit le 21 novembre 1694 à Paris, d’un père notaire. Son père était janséniste, ça veut dire qu’il n’acceptait pas la doctrine prononcée par l’église. Voltaire mourut en cette même ville, le 30 mai 1778. Très jeune, il décide de se lancer dans la carrière littéraire et c’est à 23 ans, au sortir de la Bastille où il avait séjourné plusieurs mois, qu’il prend la décision de changer de nom: Il cesse dès lors de s’appeler François Marie Arouet et devient Voltaire, anagramme d’Arouet le Jeune, commence alors pour le jeune homme une longue et brillante carrière d’écrivain, semée d’embûche et de succès. Cette longue vie (il mort à l’age de 84 ans) fut celle d’un polémiste admiré par les uns, controversé et détesté par d’autres. Il a touché presque tous les genres littéraires, ce qui fait de lui un personnage pluridisciplinaire. Il a en effet écrit: des épopées (comme La Henriade), des poèmes (par exemple le Poème sur le désastre de Lisbonne), des tragédies (Zaïre…), des contes (Zadig, Candide, Micromégas,…), des écrits historiques (comme son célèbre Siècle de Louis XIV). Mais il fut surtout pour l’Europe un Prince de l’esprit et des idées philosophiques, défenseur des victimes d’erreurs judiciaires. Voltaire fut donc tout à la fois poète et dramaturge, historien et philosophe. Pour rédiger ses nombreux écrits, de nature si diverse, notre écrivain a fort souvent été amené à s’informer et donc à consulter et utiliser un certain nombre d’outils et de sources. Pour la rédaction de toutes ses oeuvres, Voltaire s’est principalement servi d’ouvrages imprimés: livres de fonds de nature diverse et abordant les sujets les plus variés (scientifiques, littéraires, artistiques,…), lecture qu’il a complété par la consultation des dictionnaires, glossaires, encyclopédies, répertoires bibliographiques, catalogues, journaux, etc. Ces sources imprimées, Voltaire les a puisées principalement dans le fonds de sa bibliothèque personnelle. Mais Voltaire ne s’est pas servi uniquement de sources imprimées
pour rédiger ses oeuvres. Il a aussi utilisé un grand nombre de documents manuscrits: articles, mémoires, rapports, lettres et autres pièces d’archive qui lui ont été surtout utiles pour la rédaction de ses écrits historiques. Enfin, à côté de ces sources écrites, qu’elles soient imprimées ou manuscrites, Voltaire s’est servi également de sources orales où il puisa nombre d’anecdotes et de récrits qu’il utilisa par la suite pour étayer ses propres écrits. La société La société du XVIIIe siècle était une société médiévale, dans laquelle le peuple n’avait aucun droit et les riches pouvait faire ce qu’ils voulaient. Les rois de cette époque, et toutes les institutions étaient totalitaires, et le peuple vivait en pauvreté, et en saleté sans avoir la possibilité de résister ou de se rebeller. Quand les lumières ont développé leurs idées et leurs philosophies, les gens se sont rendu compte qu’ils étaient vraiment opprimé. Surtout l’idée de la souveraineté les a excités. Il y avait une mentalité de révolution entre les gens. Un désir de renouvellement, les gens ne voulaient plus vivre sous l’autorité tyrannique. C’est ça si typique pour les lumières, ils étaient les premiers qui ont pu causer une révolution à laquelle tout le pays a participé. Quand la révolution française s’est déclenchée, on avait un espoir unique, que tout serait mieux. Et en effet, si on compare la société avant la révolution, qui était encore médiévale, avec la société après, la différence est frappante. Avant, le gouvernement était composé des riches, qui n’était pas intéressés par la destinée des pauvres. Conclusion. Au XVIIIe siècle, lors du règne de Louis XV et XVI, en raison de la dégradation du Pays, des philosophes, savants, ou écrivains, dont les plus célèbres: D’Alembert, Diderot, Montesquieu, Rousseau, et Voltaire réfléchissent sur les individus et la société qui les entourent. C’est la démocratie, en Amérique, et la monarchie parlementaire en Angleterre, qui vont influencer les philosophes des lumières. Ils vont rédiger l’Encyclopédie, ouvrage de connaissances générales, et critiquent le pouvoir royal et manifeste leurs oppositions. L’Encyclopédie s’adresse aux gens cultivés et instruits et influence les intellectuels de la société. Les philosophes veulent donc la séparation des 3 pouvoirs, pour qu’il y ait un système démocratique. Ils veulent aussi une monarchie tempérée, une monarchie contrôlée par des lois ou le parlement. En bref, tous ces philosophes ont de nouvelles idées qui influencent le peuple. Les ouvres de voltaire Candide (1759) Le roman nous raconte l’histoire de Candide. Candide est un jeune homme simple et honnête. Il est élevé dans le château d’un homme puissant, le baron de Westphalie, sous la direction d’un maître qui s’appelle Pangloss. Ce Pangloss est un optimiste qui apprend à Candide que tout est au mieux dans le meilleur des mondes. Au début Candide ne doute pas. Il le croit. Candide tombe amoureux de mademoiselle Cunégonde, la fille du baron. A cause de ça, il doit quitter le château et ses aventures bizarres, parfois cruelles, même parfois incroyables commencent. D’abord il arrive dans l’armée bulgare, il rencontre Jaques, un anabaptiste qui lui aide et peu après il retrouve son maître Pangloss, très malade. Il raconte que Cunégonde est morte à cause des Bulgares. Mais ce n’est pas tout. Avec Pangloss et Jaques, Candide va en bateau à Lisbonne. A cause d’un tremblement à Lisbonne Jaques, le bienfaiteur se noie. Après que Pangloss est pendu, Candide commence à douter les théories de Pangloss. A Lisbonne il retrouve Cunégonde, qui n’est pas morte. Il doit tuer deux rivales le Juif Don Issa char et le grand inquisiteur. Avec le valet Cacambo ils partent à Paraguay. Là ils vivent encore beaucoup d’aventures et Candide rencontre là le frère de Cunégonde qui ne veut pas qu’il se marie avec Cunégonde. Alors Candide le tue dans un combat. Cacambo et Candide perdent encore une fois Cunégonde et ils vont au pays d’Eldorado, un paradis où tout est vraiment au mieux. Mais Candide veut revoir Cunégonde et ils partent riches d’Eldorado. Candide cherche un autre compagnon, l’homme le plus malheureux. Il trouve Martin qui voit le mal partout. En raisonnant ils vont à Bordeaux, Paris, en Angleterre et ils vivent d’aventures comme la rencontre des étrangers, six anciens rois malheureux. Candide apprend que Cunégonde est à Constantinople et il la retrouve vieille et laide. Il marie avec elle. Il retrouve aussi le philosophe Pangloss et il vit avec ses compagnons comme Cacambo et Martin et ils se disputent souvent. Travailler sans raisonner est proposé comme solution.
Zadig (1747) Zadig est un jeune homme bien instruit, franc et bien fait physiquement. .Il est réaliste sans ambitions excessives. IL connaît la faiblesse des humaines, et respecte la liberté et la liberté d’expressions. Il est pourvu de toutes les qualités, éprouve à travers d’une série d’aventures la difficulté d’atteindre le bonheur. Tour à tour accusé de mensonges ou de blasphèmes, favori du roi, ministre, exilé, esclave, sage conseiller de Sétoc, élu de la providence, il retrouvera finalement au terme de son parcours la reine Astarté, dont il est amoureux, et montera sur le trône de Babylone. Ses aventures le conduisent à s’interroger sur le sens de la vie humaine, fruit de simple hasard ou d’une destinée dont la logique échappe à la compréhension de l’homme.

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