Christian Signol – Une année de neige – Ed. Albin Michel, 2002.
Les personnages:
Sébastien, 10 ans
Nicole, sa mère, 32 ans
Auguste, son grand-père, 69
Cyprienne, sa grand-mère, 68
Pierre, un copain, 10 ans
Ludivine, une copine, 10 ans
A l’hôpital: le professeur, l’infirmière
Les lieux: Choisy-le-Roi (banlieue de Paris) Millac (le village) Gourdon (où il y a le marché le samedi) Toulouse (où il y a l’hôpital) Chapitre 1
Sébastien vit avec sa mère dans une triste banlieue de Paris. Son père leur a quitté il y a deux ans. Le 10 avril 1990, Sébastien apprend qu’il est atteint de leucémie: il va peut-être mourir. Sa mère, foudroyée, ne peut apporter aucun soutien. Sébastien exige d’aller chez Auguste en Cyprienne, ses grands-parents. Ils habitent en campagne, au village de Millac. Sébastien y est allé une seule fois, quand il avait cinq ans, mais il s’en souvient très clairement. A Paris, tout est gris, dur, froid. Millac, c’est l’opposé: couleurs, douceur, chaleur. En plus, Millac représente l’espoir de guérison: Sébastien se rappelle qu’Auguste est guérisseur et qu’il a guéri presque miraculeusement un malade. Là, il trouvera refuge contre la mort. Pendant le voyage en train, il a le sentiment d’être seul dans la neige où ses pieds s’enfoncent. Il se sent glacé: c’est un symptôme de sa maladie, mais aussi de la mort. Il est isolé des vivants par un mur de glace. Auguste et Cyprienne sont les seuls êtres au monde qui peuvent franchir ce mur, croit-il. Arrivé en campagne, Sébastien remarque que la nature commence à revivre – c’est le printemps: nouvelle verdure aux arbres, ciel bleu, soleil – et il a la sensation que le froid le quitte. Augustin en Cyprienne sont des fermiers retraités: ils ont une toute petite pension. Ils habitent une petite ferme avec basse-cour et potager et trois vaches. Ils ont gardé le pré pour les foins, et la vigne; leurs autres terres sont loués. Le samedi, ils vendent des légumes au marché de Gourdon. Auguste est un guérisseur: il impose les mains pour enlever le feu et cherche des herbes médicinales. Il est aussi sourcier: on vient de loin pour savoir où creuser. Sébastien demande si Augustin va lui soigner. Il ne peut pas, dit Augustin – mais tous deux l’affirment: il ne laisseront pas mourir Sébastien. Entre Augustin et Cyprien, il se sent doublement protégé. Leur chaleur va faire fondre la neige sous laquelle il avait failli être enseveli. Chapitre 2
Le traitement anti-cancéreux de Sébastien se fait à hôpital de Toulouse. A sa première visite, le professeur qui le soignera, demande pourquoi un Parisien vient se soigner à Toulouse. Sébastien explique pourquoi il est venu s’installer chez ses grands-parents: J’avais besoin d’eux. Avec eux je n’ai pas peur. Le professeur lui donne raison: pour guérir, il faut se sentir en confiance.
Le traitement dure plusieurs jours en se répétera tous les quinze jours, pendant des mois. Chaque fois Sébastien est branché à des instruments, des tubes, des boules de verre. Et chaque fois Cyprienne reste avec lui à hôpital, et veille sur lui nuit et jour.
Pendant ces séjours à hôpital ils se rapprochent l’un de l’autre: Sébastien raconte sa vie à Paris, Cyprienne parle de sa rude jeunesse comme enfant abandonnée, puis recueillie dans un ferme ou elle était maltraitée. C’est Auguste qui avait tout fait changer, dit-elle: il me parlait comme à une personne, pas comme à un animal.
Chapitre 3
Le mois de mai: la nature s’éclose dans un foisonnement de couleurs. Sébastien accompagne Auguste dans les collines: ils vont cueillir des fleurs, des plantes et Auguste explique à quoi elles servent. De nouveau, Sébastien demande si parmi toutes ses herbes il n’y en a aucune qui puisse le guérir. Non, dit Auguste, puis, pris de pitié, oui, mais elle est extrêmement rare: Il faut que ce soit une année de neige, qu’il y en ait beaucoup. Alors parfois, en décembre ou en janvier, on en trouve. La plante s’appelle hellébore, ou rose d’hiver, elle a des fleurs blanches légèrement teintées de rouge à l’extérieur. L’après-midi, Sébastien demande à Cyprienne ce qu’il y a après la mort. Elle se met en colère, mais Sébastien comprend qu’elle cache sa détresse derrière des colères feintes. Chapitre 4
Sébastien ne va pas à l’école. Il passe son temps avec Auguste: à la pêche, aux foins, à la cueillette de plantes médicinales; et avec Cyprienne, l’aidant dans le potager. Il est faible; un jour de juin, en rentrant de la pêche, il s’évanouit. On décide de ne rien dire à Cyprienne. Un autre jour, dans le potager, il se met à saigner du nez et à grelotter de froid. Soigner la maladie de Sébastien coûte cher et ses grands-parents refusent l’aide financière de Nicole. Augustine gagne un peu d’argent en travaillant deux ou trois jours par semaine chez un maraîcher, raconte Auguste. Chapitre 5
A la mi-juillet ses grands parents l’amènent au marché du samedi ou ils vendent les produits du potager. Ils achètent une casquette pour Sébastien, puisqu’il perd ses cheveux à cause de son traitement anti-cancer. Ils rencontrent une dame élégante qui demande à Cyprienne de venir le mardi au lieu du mercredi la semaine prochaine. Plus tard Cyprienne explique qu’elle fait des ménages. Lorsque l’on lui raconte un mensonge, Sébastien est pris par le froid et l’angoisse. Il a besoin de la force de Cyprienne et de la tendresse d’Auguste pour lui donner courage et confiance. Auguste raconte qu’ils n’ont jamais fait d’économies. Ils avaient comptés sur la vente de leurs terres dans leur vieillesse, mais maintenant que tous les jeunes fuient la campagne, ils arrivent à peine à les louer. Chapitre 6
Nicole passe ses vacances d’été à Millac et accompagne Sébastien chez le professeur à Toulouse. Il semble aller mieux. De nouveau, Sébastien demande à Auguste de le guérir, si les herbes ne marchent pas, peut-être en apposant els mains. Mais cela ne prend pas avec de la famille, dit Auguste. Pourtant jadis il a guéri Nicole. Voilà un autre mensonge découvert: Auguste avoue qu’ils ont adopté Nicole. Plus tard Sébastien assiste Cyprienne à faire naître un veau. Il a envie de parler de naissance, de maternité, mais n’ose pas, troublé par la nouvelle de l’adoption – Cyprienne n’a pas donné naissance à un enfant. Millac est un village d’une trentaine de maisons, une soixantaine d’habitants, un bar et une épicerie-mercerie-dépôt de pain. En allant acheter du pain au village, Sébastien fait la rencontre d’un garçon de son âge: Pierre, le fils d’un fermier des environs qui loue les terres d’Auguste. Il apprend que s’il voit si peu d’enfants, c’est qu’ils habitent dans les fermes et non au village; ils n'ont guère de temps pour jouer, puisque ils travaillent à la ferme, aidant père et mère. Chapitre 7
Tout va si bien, qu’à la rentrée, Sébastien reprend l’école au village. De la grande école, il ne reste qu’une classe d’une quinzaine d’élèves. Il ne tarde pas à faire des amis. Ludivine lui passe des petits mots doux. Pour l’avenir, Sébastien et Pierre ont un projet secret, devenir vétérinaire. A Toulouse, le traitement de Sébastien dure plus longtemps que prévu. Sébastien croit qu’on lui cache la vérité sur son état et se met en colère contre Cyprienne qui lui a menti au sujet de Nicole et il dit qu’elle n’est pas mère. Il l’a profondément blessée. Pourtant, le soir, elle fait comprendre à Sébastien que l’on ne devient pas parent en donnant la vie, mais par l’amour, les soins, l’éducation que l’on donne à l’enfant. Fin septembre, Sébastien aide aux vendanges. Beaucoup au village ont gardé une petite vigne. Tous vendangent ensemble, le même jour. A un billet tendre de Ludivine, Sébastien répond: c’est pour toi que je guérirai. Chapitre 8
Octobre. Avec Pierre, Sébastien va à la pêche (avec des nasses) et au ramassage de cèpes pour la vente au marché et des girolles pour l’omelette de Cyprienne. Nicole passe les vacances de Toussaint à Millac, toujours incapable d’aider son fils. Auguste et Cyprienne achètent des petits canards pour les gaver. Sébastien en est dégoûté, mais il comprend que le foie gras rapportera bien au marché de Noël. Un jour, en ramassant les baies rouges des églantiers, Sébastien se pique l’index et le sang se met à couler sans arrêt. Il ressent le froid qu’il n’avait plus éprouvé depuis longtemps et il est en panique. Tous comprennent que la maladie est revenue. Cette fois-ci, au lieu de trois jours, il doit rester quinze jours à hôpital de Toulouse. Il s’affaiblit, ne vas plus à l’école. Par ses conversations avec Auguste, Sébastien a compris que sa guérison dépend de sa volonté de guérir. Chapitre 9
Les analyses à l’hôpital sont très mauvaises. Sébastien se sent seul, livré à lui-même. Il ne veut pas parler de la mort, puisqu’en parler, c’est déjà faire un pas vers elle. Il passe la Noël à Millac, mais doit rentrer à hôpital le 10 janvier. Il passe son temps, allongé sur le divan. La neige, l’hellébore, sont son seul espoir. Se sentant mieux, il se promène dehors, mais s’évanouit. Il demande lui-même à être admis à hôpital trois jours avant terme. Chapitre 10
Ca va de mal en pire. On parle maintenant d’une greffe de moelle osseuse. Seulement, il est très difficile de trouver un donneur. L’attente est longue. Le 7 février Sébastien est à Millac quand la neige tombe, ils font un bonhomme de neige, se battent aux boules de neige. Puis Sébastien s’écroule. Augustin sort tous les jours et même la nuit. Un jour, il entre avec dans ses mains les fleurs tant cherchées. Puis, à Toulouse, le professeur annonce qu’on a trouvé un donneur: c’est aussi rare que des fleurs sous la neige, dit il. Epilogue
Sébastien a maintenant 22 ans et étudie la médecine vétérinaire à Bordeaux. Auguste est mort en 1995. Cyprienne, elle, est indestructible.
Nicole, sa mère, 32 ans
Auguste, son grand-père, 69
Cyprienne, sa grand-mère, 68
Pierre, un copain, 10 ans
Ludivine, une copine, 10 ans
A l’hôpital: le professeur, l’infirmière
Les lieux: Choisy-le-Roi (banlieue de Paris) Millac (le village) Gourdon (où il y a le marché le samedi) Toulouse (où il y a l’hôpital) Chapitre 1
Sébastien vit avec sa mère dans une triste banlieue de Paris. Son père leur a quitté il y a deux ans. Le 10 avril 1990, Sébastien apprend qu’il est atteint de leucémie: il va peut-être mourir. Sa mère, foudroyée, ne peut apporter aucun soutien. Sébastien exige d’aller chez Auguste en Cyprienne, ses grands-parents. Ils habitent en campagne, au village de Millac. Sébastien y est allé une seule fois, quand il avait cinq ans, mais il s’en souvient très clairement. A Paris, tout est gris, dur, froid. Millac, c’est l’opposé: couleurs, douceur, chaleur. En plus, Millac représente l’espoir de guérison: Sébastien se rappelle qu’Auguste est guérisseur et qu’il a guéri presque miraculeusement un malade. Là, il trouvera refuge contre la mort. Pendant le voyage en train, il a le sentiment d’être seul dans la neige où ses pieds s’enfoncent. Il se sent glacé: c’est un symptôme de sa maladie, mais aussi de la mort. Il est isolé des vivants par un mur de glace. Auguste et Cyprienne sont les seuls êtres au monde qui peuvent franchir ce mur, croit-il. Arrivé en campagne, Sébastien remarque que la nature commence à revivre – c’est le printemps: nouvelle verdure aux arbres, ciel bleu, soleil – et il a la sensation que le froid le quitte. Augustin en Cyprienne sont des fermiers retraités: ils ont une toute petite pension. Ils habitent une petite ferme avec basse-cour et potager et trois vaches. Ils ont gardé le pré pour les foins, et la vigne; leurs autres terres sont loués. Le samedi, ils vendent des légumes au marché de Gourdon. Auguste est un guérisseur: il impose les mains pour enlever le feu et cherche des herbes médicinales. Il est aussi sourcier: on vient de loin pour savoir où creuser. Sébastien demande si Augustin va lui soigner. Il ne peut pas, dit Augustin – mais tous deux l’affirment: il ne laisseront pas mourir Sébastien. Entre Augustin et Cyprien, il se sent doublement protégé. Leur chaleur va faire fondre la neige sous laquelle il avait failli être enseveli. Chapitre 2
Le mois de mai: la nature s’éclose dans un foisonnement de couleurs. Sébastien accompagne Auguste dans les collines: ils vont cueillir des fleurs, des plantes et Auguste explique à quoi elles servent. De nouveau, Sébastien demande si parmi toutes ses herbes il n’y en a aucune qui puisse le guérir. Non, dit Auguste, puis, pris de pitié, oui, mais elle est extrêmement rare: Il faut que ce soit une année de neige, qu’il y en ait beaucoup. Alors parfois, en décembre ou en janvier, on en trouve. La plante s’appelle hellébore, ou rose d’hiver, elle a des fleurs blanches légèrement teintées de rouge à l’extérieur. L’après-midi, Sébastien demande à Cyprienne ce qu’il y a après la mort. Elle se met en colère, mais Sébastien comprend qu’elle cache sa détresse derrière des colères feintes. Chapitre 4
Sébastien ne va pas à l’école. Il passe son temps avec Auguste: à la pêche, aux foins, à la cueillette de plantes médicinales; et avec Cyprienne, l’aidant dans le potager. Il est faible; un jour de juin, en rentrant de la pêche, il s’évanouit. On décide de ne rien dire à Cyprienne. Un autre jour, dans le potager, il se met à saigner du nez et à grelotter de froid. Soigner la maladie de Sébastien coûte cher et ses grands-parents refusent l’aide financière de Nicole. Augustine gagne un peu d’argent en travaillant deux ou trois jours par semaine chez un maraîcher, raconte Auguste. Chapitre 5
A la mi-juillet ses grands parents l’amènent au marché du samedi ou ils vendent les produits du potager. Ils achètent une casquette pour Sébastien, puisqu’il perd ses cheveux à cause de son traitement anti-cancer. Ils rencontrent une dame élégante qui demande à Cyprienne de venir le mardi au lieu du mercredi la semaine prochaine. Plus tard Cyprienne explique qu’elle fait des ménages. Lorsque l’on lui raconte un mensonge, Sébastien est pris par le froid et l’angoisse. Il a besoin de la force de Cyprienne et de la tendresse d’Auguste pour lui donner courage et confiance. Auguste raconte qu’ils n’ont jamais fait d’économies. Ils avaient comptés sur la vente de leurs terres dans leur vieillesse, mais maintenant que tous les jeunes fuient la campagne, ils arrivent à peine à les louer. Chapitre 6
Nicole passe ses vacances d’été à Millac et accompagne Sébastien chez le professeur à Toulouse. Il semble aller mieux. De nouveau, Sébastien demande à Auguste de le guérir, si les herbes ne marchent pas, peut-être en apposant els mains. Mais cela ne prend pas avec de la famille, dit Auguste. Pourtant jadis il a guéri Nicole. Voilà un autre mensonge découvert: Auguste avoue qu’ils ont adopté Nicole. Plus tard Sébastien assiste Cyprienne à faire naître un veau. Il a envie de parler de naissance, de maternité, mais n’ose pas, troublé par la nouvelle de l’adoption – Cyprienne n’a pas donné naissance à un enfant. Millac est un village d’une trentaine de maisons, une soixantaine d’habitants, un bar et une épicerie-mercerie-dépôt de pain. En allant acheter du pain au village, Sébastien fait la rencontre d’un garçon de son âge: Pierre, le fils d’un fermier des environs qui loue les terres d’Auguste. Il apprend que s’il voit si peu d’enfants, c’est qu’ils habitent dans les fermes et non au village; ils n'ont guère de temps pour jouer, puisque ils travaillent à la ferme, aidant père et mère. Chapitre 7
Tout va si bien, qu’à la rentrée, Sébastien reprend l’école au village. De la grande école, il ne reste qu’une classe d’une quinzaine d’élèves. Il ne tarde pas à faire des amis. Ludivine lui passe des petits mots doux. Pour l’avenir, Sébastien et Pierre ont un projet secret, devenir vétérinaire. A Toulouse, le traitement de Sébastien dure plus longtemps que prévu. Sébastien croit qu’on lui cache la vérité sur son état et se met en colère contre Cyprienne qui lui a menti au sujet de Nicole et il dit qu’elle n’est pas mère. Il l’a profondément blessée. Pourtant, le soir, elle fait comprendre à Sébastien que l’on ne devient pas parent en donnant la vie, mais par l’amour, les soins, l’éducation que l’on donne à l’enfant. Fin septembre, Sébastien aide aux vendanges. Beaucoup au village ont gardé une petite vigne. Tous vendangent ensemble, le même jour. A un billet tendre de Ludivine, Sébastien répond: c’est pour toi que je guérirai. Chapitre 8
Octobre. Avec Pierre, Sébastien va à la pêche (avec des nasses) et au ramassage de cèpes pour la vente au marché et des girolles pour l’omelette de Cyprienne. Nicole passe les vacances de Toussaint à Millac, toujours incapable d’aider son fils. Auguste et Cyprienne achètent des petits canards pour les gaver. Sébastien en est dégoûté, mais il comprend que le foie gras rapportera bien au marché de Noël. Un jour, en ramassant les baies rouges des églantiers, Sébastien se pique l’index et le sang se met à couler sans arrêt. Il ressent le froid qu’il n’avait plus éprouvé depuis longtemps et il est en panique. Tous comprennent que la maladie est revenue. Cette fois-ci, au lieu de trois jours, il doit rester quinze jours à hôpital de Toulouse. Il s’affaiblit, ne vas plus à l’école. Par ses conversations avec Auguste, Sébastien a compris que sa guérison dépend de sa volonté de guérir. Chapitre 9
Les analyses à l’hôpital sont très mauvaises. Sébastien se sent seul, livré à lui-même. Il ne veut pas parler de la mort, puisqu’en parler, c’est déjà faire un pas vers elle. Il passe la Noël à Millac, mais doit rentrer à hôpital le 10 janvier. Il passe son temps, allongé sur le divan. La neige, l’hellébore, sont son seul espoir. Se sentant mieux, il se promène dehors, mais s’évanouit. Il demande lui-même à être admis à hôpital trois jours avant terme. Chapitre 10
Ca va de mal en pire. On parle maintenant d’une greffe de moelle osseuse. Seulement, il est très difficile de trouver un donneur. L’attente est longue. Le 7 février Sébastien est à Millac quand la neige tombe, ils font un bonhomme de neige, se battent aux boules de neige. Puis Sébastien s’écroule. Augustin sort tous les jours et même la nuit. Un jour, il entre avec dans ses mains les fleurs tant cherchées. Puis, à Toulouse, le professeur annonce qu’on a trouvé un donneur: c’est aussi rare que des fleurs sous la neige, dit il. Epilogue
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