L’auteur
Albert Camus (1913-1960) est né à Alger, son élevage là avait un grand influence sur son œuvre plus tard. Avant la guerre de 1940 il était journaliste et régisseur d’un ensemble de théâtre d’amateurs. A l’age de vingt cinq il a émigré vers la France où il a fait parti de la résistance pendant l’occupation. Apres la guerre il est devenu journaliste pour un journal politique en France. En 1947 il a pris sa retraite du journalisme et il s’est mis sur son écriture. Camus avait la tendance d’écrire en trois, un livre, un essai et une pièce de théâtre, tous de le même sujet. Le livre que j’ai du lire, La Peste, forme un trio avec l’essai, L’Homme Révolté et la pièce de théâtre, Les Justes ; Ils concernent tous de la mort. Sa philosophie est l’existentialisme, qu’on peut décrire comme un humanisme sombre, mais plus tard dans mon devoir je l’expliquerai plus détailler.
En 1957 Camus avait reçu le prix Nobel pour son œuvre, le jury a dit qu’elle y trouvait une clarté et une lucidité, caractéristique pour la littérature français, et un art indéniable. Albert Camus mourait après un accident de voiture en 1960.
Petit contenu
L’histoire se passe dans une ville algérienne, Oran. Après la mort soudain d’un millier de rats, beaucoup de gens mouraient d’une fièvre extraordinaire. Diagnostic : La peste. C’est le docteur Rieux qu’il l’a fait et c’est lui qui persuade les autorités de fermer la ville. La ville se ferme, les gens ne peuvent plus la quitter. Premièrement, les concitoyens du narrateur l’acceptent, ils essayent de l’oublier. Mais quand la gravité de la situation est clair les gens se réveillent. Tout le monde veut aider le docteur Rieux, qui s’était mis sur le problème dès le début. La situation s’aggrave, ils commencent à désespérer. Heureusement le sérum arrive de la France. Les mortalités diminuent et un mois après l’eclatage du fléau, la ville se réouverte. Les citoyens fêtent, refoulant de la chance sur une nouvelle épidémie.
Le thème : L’Existentialisme
D’abord je voudrais expliquer ce terme, l’existentialisme, et puis, je vais l’appliquer sur le livre.
Le petit Larousse : EXISTENTIALISME : Doctrine philosophique d’après laquelle l’homme, qui existe d’abord d’une existence quasi métaphysique, se crée et se choisit lui-même en agissant.
C’est quand même pas si simple à expliquer, à cause de la diversité des différents philosophes et auteurs. Généralement on prend le philosophe danois, Soren Kierkegard, pour le premier qui s’appelle existentialiste.
L’existentialisme comme idée philosophique et mouvement littéraire est de la 19° et la 20° siècle, mais ses éléments se trouvent dans les écrits de Socrate, dans la bible et dans l’œuvre de plusieurs philosophes et auteurs de plus tôt.
Centrale dans ce mouvement est la sens d’être et trouver son propre vérité, l’homme est condamner d’être libert. (P.e. : L’amour n’est qu’un effort vain pour aimer, parce que, ou on tente de posséder l’autre, ou bien on laisse l’autre posséder soi-même.) Peut-être l’aspect la plus importante et ce de la choix, c’est inévitable, même la décision de ne pas choisir est un choix. Les existentialistes ont un point de vue ambigu vers la liberté, elle est dangereuse et étouffante, mais aussi délicieuse.
L’existentialisme en soi n’avait jamais des idées religieuses, mais les philosophes de la première heure étaient chrétiens, les autres étaient des atheïstes. Mais l’existentialisme était usé fréquemment par les chrétiens pour vanter leur religion.
Comme déjà dit, c’était le Danois Kierkegaard, qui était le premier, les autres philosophes promenant sont Nietzsche, Heidegger et Sartre. Les auteurs existentialistes sont plutôt des moralistes. Dostojevsky, le Rus, était probablement le plus existentialiste (comme, Alyosha a dit dans ‘les frères Karamazov’ : Il faut aimer la vie plus que sa sens.) Après lui il y avait Franz Kafka, Samuel Becket et bien sur, Albert Camus.
Les deux personnages les plus important de l’existentialisme français sont Jean-Paul Sartre et Albert Camus, mais contrairement au marxiste Sartre, Camus a dit que seulement la révolte personnelle peut donner une valeur à la vie.
Il s’agit de mourir sans s’avoir concilier avec le monde. Un artiste, selon Camus, doit parcourir la route entre la beauté et la civilisation, de laquelle il se ne peut pas séparer. On appelle les livres de Camus existentialiste à cause de ses thèmes, l’absurdité apparent de la vie, l’indifférence de la société et la nécessité de l’engagement pour une cause juste.
J’essayerai de l’expliquer plus et de le mettre en contact avec le livre avec deux passages.
# P 74 : « Ainsi, chacun dut accepter de vivre au jour le jour, et seul en face du ciel. Cet abandon général qui pouvait à la longue tremper les caractères commençait pourtant par les rendre futiles.
Pour certains de nos concitoyens par exemple, ils étaient alors soumis à un autre esclavage qui les mettait au service du soleil et de la pluie. Il semblait, à les voir, qu’ils recevaient pour la première fois, et directement, l’impression du temps qu’il fasse. Ils avaient la mine réjouie sur la simple visite d’une lumière dorée, tandis que les jours de pluie mettait une voile épais sur leurs visages et leurs pensées.
Ils échappaient, quelques semaines plus tôt, à cette averse et à cet asservissement déraisonnable parce qu’ils n’étaient pas seuls en face du monde et que, dans une certaine mesure, l’être qui vivait avec eux se plaçait devant leurs univers. A partir de cet instant, au contraire, ils furent apparemment livrés aux caprices du ciel, c’est à dire qu’ils souffrirent et espèrent sans raison. »
Ce passage-ci veut illustrer que la vie est une route individuelle et qu’on doit se limiter en la glorifier parce qu’autrement on se trouve un esclave de sa propre vie.
# P 84 : Rieux se trouve confronter avec un jeune journaliste, Rambert, qui veut quitter la ville pour se rejoindre avec son amant. Rieux doit décliner à cause de la raison et de la justesse, le jeune homme ne le comprend pas.
« -alors cela signifie que je me débrouille autrement ? Mais, reprit-il avec une sorte de défi, je quitterai cette ville.
Le docteur dit qu’il lui comprenait encore, mais que cela ne le regardait pas.
-si, cela vous regarde, fit Rambert avec un éclat soudain. Je suis venu vers vous parce qu’on m’a dit que vous aviez eu un grand part dans les décisions prises. J’ai pensé alors que, pour un cas ou moins, vous pouviez défaire ce que vous avez contribué à faire. Mais cela vous est égal. Vous n’avez pensé à personne. Vous n’avez pas tenu compte de ceux qui étaient séparer.
Rieux reconnu que, dans un sens, cela était vrai, il n’avait pas voulu en tenir compte.
-ah ! Je vois, fit Rambert, vous allez parler du service public. Mais le bien public est fait du bonheur de chacun
-allons, dit le docteur qui semblait sortir d’une distraction, il y a cela et il y a autre chose. »
Ici c’est Rambert qui personnifie l’existentialisme. C’est probablement pour cela que Camus le laisse gagner la discussion et qu’il lui donne les mots typiques pour l’existentialisme de Camus : « le bien public est fait du bonheur de chacun. »
Rambert est un homme révolté, mais égoïste, il bat pour une révolution individuelle.
Mon appréciation personnelle
Je n’ai pas encore lu tout le livre, mais je le ferrai certainement dans des temps moins pressés. Je l’ai lu avec plaisir, surpris, de temps en temps, par des phrases magnifiques. (Par exemple : p 52 : Disons seulement que nous ne devons pas agir comme si la moitié de la ville risquait d’être tuée, car alors elle le serait./p 83 : Rieux approuva de la tête, il reçut un petit garçon qui se jetait dans ses jambes et le remis doucement sur ses pieds.) C’est ma sorte de livre, la description d’un fait énorme, sans une histoire qui ce dévolue mais un qui est là et qui contient une quantité de petites histoires. Mes sources *le petit Larousse *Franse letterkunde: prof.dr. W. Noomen, prof.dr.J.A.G.Tans *Prisma van de filosofie: Jörg Aufenanger *internet: scholieren.com
nobel.com
the existentialism page
Je n’ai pas encore lu tout le livre, mais je le ferrai certainement dans des temps moins pressés. Je l’ai lu avec plaisir, surpris, de temps en temps, par des phrases magnifiques. (Par exemple : p 52 : Disons seulement que nous ne devons pas agir comme si la moitié de la ville risquait d’être tuée, car alors elle le serait./p 83 : Rieux approuva de la tête, il reçut un petit garçon qui se jetait dans ses jambes et le remis doucement sur ses pieds.) C’est ma sorte de livre, la description d’un fait énorme, sans une histoire qui ce dévolue mais un qui est là et qui contient une quantité de petites histoires. Mes sources *le petit Larousse *Franse letterkunde: prof.dr. W. Noomen, prof.dr.J.A.G.Tans *Prisma van de filosofie: Jörg Aufenanger *internet: scholieren.com
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